Lancé en Europe en 2021, le Renault Arkana a introduit un concept relativement nouveau sur le marché : le SUV coupé accessible. Combinant la hauteur et la praticité d’un SUV avec la silhouette élancée d’un coupé, ce modèle basé sur la plateforme CMF-B de l’Alliance Renault-Nissan a rapidement trouvé son public. Mais comme tout véhicule, certaines versions présentent des points faibles spécifiques qu’il convient de connaître avant l’achat. Ce guide complet vous aide à identifier les configurations à privilégier et celles qui méritent une attention particulière.
Avant d’entrer dans les détails, voici un tableau récapitulatif des motorisations à éviter sur le Renault Arkana :
| Motorisation | Période | Problèmes principaux | Recommandation |
|---|---|---|---|
| 1.3 TCe 140 EDC | 2021-début 2022 | Boîte EDC, calibration moteur, consommation | Vigilance recommandée |
| 1.6 E-TECH Hybrid 145 | 2021-mi 2022 | Boîte multimode, freinage régénératif, électronique | Préférer versions récentes |
| 1.3 TCe 160 EDC | Toutes périodes | Surconsommation, émissions réelles, pompe à huile | À évaluer selon usage |
Les motorisations à éviter sur le Renault Arkana
L’Arkana a été conçu pour accueillir les motorisations les plus récentes du groupe Renault. Si ces mécaniques sont globalement éprouvées, certaines combinaisons spécifiques à ce modèle peuvent présenter des points de vigilance, particulièrement sur les premiers millésimes de production.
Le 1.3 TCe 140 EDC : la polyvalence compromise
Version centrale de la gamme Arkana, ce quatre cylindres turbocompressé de 1.3 litre développant 140 chevaux est systématiquement associé à la transmission automatique à double embrayage EDC. Cette configuration, qui se veut polyvalente, présente plusieurs faiblesses notables sur les exemplaires produits avant mi-2022.
La transmission EDC à 7 rapports constitue le maillon faible de cette motorisation. Les données collectées auprès des centres techniques spécialisés révèlent un taux d’intervention 25% supérieur à la moyenne de la catégorie pour cette boîte automatique.
Les principaux symptômes rapportés incluent :
- À-coups lors des rétrogradages, particulièrement entre les rapports 2 et 1
- Hésitations en reprise à basse vitesse et en manœuvres
- Vibrations perceptibles à vitesse stabilisée
- Passages de rapports parfois brutaux à froid
Le calibrage du moteur Renault montre également des signes de jeunesse sur les premiers exemplaires, avec une réponse à l’accélérateur parfois incohérente et un turbo qui peut manquer de progressivité. Ce comportement se traduit par un agrément de conduite en retrait des attentes légitimes pour un SUV moderne.
La consommation réelle constitue un autre point de déception, avec des écarts significatifs par rapport aux valeurs annoncées. Les relevés en conditions réelles d’utilisation font état d’une moyenne de 7,5 à 8,5L/100km en usage mixte, soit près de 30% de plus que les chiffres homologués. Cette contre-performance s’explique en partie par un poids élevé (1400 kg) et une aérodynamique compromise par la silhouette surélevée.
Renault a déployé plusieurs mises à jour logicielles courant 2022 pour améliorer le comportement de cette transmission et optimiser la gestion moteur. Les exemplaires récents bénéficient d’un agrément nettement supérieur, avec des transitions plus fluides et une consommation mieux maîtrisée.
Le 1.6 E-TECH Hybrid 145 : la complexité en rodage
Fleuron technologique de la gamme, la motorisation hybride auto-rechargeable E-TECH associe un moteur essence 1.6 atmosphérique à deux moteurs électriques et une batterie de 1,2 kWh. Cette architecture complexe, spécifique à Renault, promet efficience et agrément mais présente quelques faiblesses sur les premiers exemplaires commercialisés.
La boîte de vitesses multimode, élément central du dispositif E-TECH, affiche un comportement parfois déroutant. Cette transmission sans embrayage, inspirée des technologies de Formule 1, utilise des crabots plutôt que des synchroniseurs conventionnels. Sur les modèles produits avant mi-2022, cela se traduit par :
Des transitions parfois brusques entre les modes de propulsion (thermique, électrique, combiné).
Une sensation de rupture de couple lors de certains changements de rapports.
Des à-coups perceptibles à basse vitesse, particulièrement en circulation urbaine dense.
Le système de freinage régénératif constitue un autre point d’attention. Sa calibration perfectible sur les premiers millésimes engendre une sensation de pédale artificielle et un manque de progressivité qui nuit à la précision du dosage. Ce comportement, commun à de nombreux véhicules hybrides, est particulièrement marqué sur les premières versions de l’Arkana E-TECH.
L’électronique de gestion présente également quelques faiblesses de jeunesse, avec des cas rapportés de :
- Passages en mode dégradé sans raison apparente
- Affichage incorrect de l’autonomie électrique restante
- Redémarrages moteur intempestifs à l’arrêt
- Bugs occasionnels du système multimédia Easy Link
Ces problèmes, bien que généralement résolus par des mises à jour logicielles, peuvent affecter l’expérience quotidienne et nécessitent parfois plusieurs visites en concession pour être entièrement corrigés.
Il convient de noter que Renault a considérablement amélioré cette motorisation depuis son lancement, avec de multiples mises à jour déployées progressivement. Les véhicules produits après le second semestre 2022 bénéficient d’une expérience nettement plus aboutie, avec des transitions fluides et une gestion de l’énergie optimisée.
Le 1.3 TCe 160 EDC : la puissance mal exploitée
Version haut de gamme de l’offre non hybride, ce 1.3 TCe porté à 160 chevaux partage l’essentiel de sa technique avec la version 140 ch, mais présente des caractéristiques spécifiques qui méritent attention.
La surconsommation constitue le défaut majeur de cette motorisation. Malgré des performances objectives à peine supérieures à la version 140 ch (0,7s de moins sur le 0 à 100 km/h), l’appétit pour le carburant s’avère nettement plus marqué. Les relevés en conditions réelles font état d’une consommation moyenne de 8,5 à 9,5L/100km en usage mixte, un niveau difficilement justifiable pour un véhicule de ce segment.
Cette motorisation présente également des faiblesses mécaniques spécifiques :
- Pompe à huile haute pression présentant un taux de défaillance préoccupant
- Turbocompresseur sollicité plus intensément avec risque d’usure prématurée
- Emissions de CO2 réelles dépassant largement les valeurs homologuées
- Surcoût à l’achat rarement amorti par un gain d’agrément tangible
Les données de fiabilité collectées montrent un taux d’intervention non programmée 15% supérieur à la version 140 ch, principalement lié au système d’injection et au turbocompresseur plus sollicités. Ce surcroît de maintenance érode l’attrait économique de cette motorisation, déjà compromise par sa consommation élevée.
Les finitions à éviter sur le Renault Arkana
Au-delà des motorisations, certaines finitions de l’Arkana présentent un rapport équipement/prix discutable ou des spécificités qui peuvent décevoir à l’usage.
La finition Zen : l’entrée de gamme trop dépouillée
Positionnée comme point d’entrée dans la gamme, la finition Zen propose un équipement minimal qui peut rapidement frustrer au quotidien. L’absence de certaines fonctionnalités attendues sur un véhicule de ce positionnement est particulièrement regrettable.
Les principales limitations de cette finition incluent :
- Un système multimédia basique avec écran 7 pouces, sans navigation intégrée.
- Une climatisation manuelle alors que l’automatique est devenue standard sur ce segment.
- Des jantes alliage 17 pouces au design basique, pénalisant l’esthétique générale du véhicule.
L’absence de capteurs de stationnement arrière, pourtant utiles compte tenu des dimensions du véhicule et de sa visibilité arrière limitée.
Des sièges au maintien insuffisant pour un véhicule aux prétentions dynamiques.
Les données commerciales révèlent que cette finition représente moins de 15% des ventes en Europe, principalement destinées aux flottes d’entreprises. Son positionnement tarifaire, relativement proche de la finition intermédiaire Intens, explique ce faible attrait auprès des particuliers.
La finition RS Line : le sportif d’apparence
Introduite pour capitaliser sur l’image sportive de Renault, la finition RS Line appliquée à l’Arkana relève davantage du marketing que d’une réelle proposition sportive. Son surcoût important par rapport à la finition Intens (environ 2000€) soulève des questions quant à sa pertinence.
Cette finition propose essentiellement des éléments cosmétiques :
- Boucliers spécifiques et badges RS Line
- Jantes alliage 18 pouces au design exclusif
- Sièges sport avec surpiqûres rouges
- Pédalier aluminium et ciel de toit noir
- Volant sport en cuir perforé avec coutures rouges
Cependant, aucune amélioration technique n’accompagne ces modifications esthétiques. Suspensions, freins et réglages moteur restent strictement identiques aux autres versions, créant un décalage entre l’apparence dynamique et les prestations réelles.
Les jantes 18 pouces, bien qu’esthétiquement attrayantes, détériorent le confort routier déjà perfectible de l’Arkana et augmentent le coût des pneumatiques de remplacement (+25% par rapport aux 17 pouces). Le compromis confort/esthétique s’avère questionnable pour un usage familial quotidien.
Les données du marché de l’occasion naissant montrent déjà une décote plus importante pour cette finition, avec un écart pouvant atteindre 5 à 8% par rapport à une finition Intens équivalente après deux ans. Cette tendance s’explique par un rapport valeur perçue/prix initial déséquilibré.
Les modèles les plus fiables du Renault Arkana
Malgré les points de vigilance identifiés, certaines configurations de l’Arkana se distinguent par leur fiabilité et leur pertinence, offrant une expérience globalement satisfaisante.
Le 1.3 TCe 140 EDC après mi-2022 : l’équilibre trouvé
Suite aux multiples améliorations apportées, les exemplaires du 1.3 TCe 140 produits après le second semestre 2022 offrent une expérience nettement plus aboutie. Les mises à jour de la transmission EDC ont considérablement affiné les passages de rapports, tandis que la calibration moteur optimisée délivre une réponse plus cohérente et prévisible.
Les principales améliorations concernent :
- Fluidité accrue des passages de rapports, particulièrement à basse vitesse
- Comportement plus naturel lors des rétrogradages
- Réactivité améliorée aux sollicitations de l’accélérateur
- Consommation mieux maîtrisée grâce à une gestion moteur optimisée
Les retours clients montrent un taux de satisfaction en nette hausse (85% contre 70% sur les premiers millésimes), plaçant désormais cette motorisation dans la moyenne haute du segment. Sa polyvalence en fait un choix pertinent pour les utilisateurs recherchant un compromis entre performances, confort et coût d’utilisation.
Les statistiques d’intervention sous garantie confirment cette amélioration, avec une baisse de 35% des problèmes rapportés par rapport aux premiers exemplaires. Cette tendance positive témoigne de la capacité de Renault à corriger efficacement les défauts de jeunesse.
Le 1.6 E-TECH Hybrid 145 récent : la technologie maîtrisée
Les exemplaires récents (après mi-2022) de la motorisation hybride E-TECH ont considérablement gagné en maturité. Les multiples mises à jour logicielles ont transformé l’expérience de conduite, offrant désormais des transitions fluides entre les modes de propulsion et une gestion énergétique optimisée.
Cette version propose désormais :
- Des transitions imperceptibles entre modes électrique et thermique
- Un freinage régénératif progressif et naturel
- Une fiabilité électronique améliorée avec disparition des bugs initiaux
- Une consommation réelle remarquable (5,5-6L/100km en usage mixte réel)
La complexité initiale s’est muée en expertise, avec une mécanique qui exploite pleinement le potentiel de l’hybridation auto-rechargeable. Les statistiques de fiabilité montrent désormais un taux d’intervention comparable aux hybrides Toyota, référence historique du segment.
Les données d’usage révèlent également une proportion de conduite en mode électrique atteignant 50-60% en cycle urbain, un excellent résultat qui explique la sobriété remarquable de cette motorisation en ville (souvent inférieure à 5L/100km).
La finition Intens : le juste équilibre
Position intermédiaire dans la gamme, la finition Intens offre le meilleur rapport équipement/prix et représente logiquement plus de 60% des ventes européennes de l’Arkana. Son positionnement judicieux évite les compromis excessifs de la finition Zen tout en restant financièrement accessible.
Cette configuration propose l’essentiel des équipements attendus sur un SUV moderne :
- Système multimédia Easy Link 9,3 pouces avec navigation
- Climatisation automatique bi-zone
- Capteurs de stationnement avant et arrière avec caméra de recul
- Accès et démarrage sans clé
- Jantes alliage 18 pouces au design équilibré
La finition Intens évite également les éléments cosmétiques superflus qui alourdissent inutilement le prix des versions supérieures, tout en conservant une présentation valorisante. Cette approche raisonnable se traduit par une dépréciation plus lente, avec une valeur résiduelle supérieure de 3 à 5% après trois ans par rapport aux autres finitions.
Guide d’achat du Renault Arkana
Voici les éléments essentiels à considérer et vérifier pour faire le choix le plus pertinent lors de l’achat d’un Arkana neuf ou d’occasion.
Les points critiques à examiner
Une inspection minutieuse des éléments suivants vous évitera bien des déconvenues :
La transmission EDC mérite une attention particulière. Lors de l’essai, vérifiez particulièrement :
- Le comportement à basse vitesse et en manœuvres de stationnement
- La fluidité des passages de rapports, à froid comme à chaud
- L’absence d’à-coups lors des rétrogradages
- La réactivité aux sollicitations soudaines de l’accélérateur
Pour les versions E-TECH hybrides, examinez soigneusement :
- La transition entre propulsion électrique et thermique (doit être imperceptible)
- Le comportement du freinage (progressivité, absence de sensation artificielle)
- Le fonctionnement du système multimédia et des affichages d’autonomie
- La réactivité du véhicule au démarrage et à basse vitesse
L’électronique de bord constitue un autre point d’attention, particulièrement sur les premiers millésimes. Vérifiez :
Le fonctionnement complet du système multimédia Easy Link (navigation, connectivité smartphone, radio).
Le tableau de bord numérique et ses différents affichages (absence de pixels morts ou d’affichages erratiques).
Les aides à la conduite (régulateur adaptatif, maintien dans la voie, freinage d’urgence) qui doivent fonctionner de manière cohérente.
Les éventuels messages d’erreur au tableau de bord, même temporaires, qui peuvent indiquer des problèmes électroniques sous-jacents.
Pour l’Arkana E-TECH, l’état de la batterie hybride peut être vérifié via le diagnostic électronique disponible chez Renault ou chez des spécialistes indépendants. Cette vérification est particulièrement recommandée pour les véhicules à kilométrage élevé ou ayant connu une période d’immobilisation prolongée.
Comment identifier les bons millésimes ?
La date de production constitue un critère déterminant pour l’Arkana, compte tenu des améliorations significatives apportées depuis son lancement. Voici comment l’identifier :
Le numéro de série (VIN) permet de déterminer précisément la date de fabrication, le 10e caractère indiquant l’année (M=2021, N=2022) et les caractères suivants précisant le mois et l’usine.
La plaque constructeur, généralement située dans l’encadrement de porte côté conducteur, mentionne également la date de production.
Les factures d’origine et les carnets d’entretien contiennent souvent cette information essentielle.
Privilégiez les exemplaires produits après juin 2022, période à partir de laquelle la plupart des améliorations techniques et logicielles ont été intégrées à la production.
Budget entretien et coûts cachés
L’entretien de l’Arkana s’inscrit dans la moyenne de sa catégorie, avec quelques spécificités selon les motorisations :
Pour les versions 1.3 TCe, le programme d’entretien prévoit une révision principale tous les 30 000 km ou 1 an, alternant entre entretien intermédiaire (environ 200-250€) et complet (environ 350-450€). Le remplacement de la courroie d’accessoires est recommandé à 120 000 km, tandis que la chaîne de distribution ne nécessite théoriquement pas d’intervention.
Les versions E-TECH hybrides bénéficient d’intervalles similaires mais avec des coûts légèrement supérieurs (+15% environ) en raison des spécificités de cette motorisation. Un avantage notable concerne les freins, dont l’usure est considérablement réduite grâce au système de récupération d’énergie.
Points spécifiques à budgétiser :
- Batterie hybride – Garantie 8 ans ou 160 000 km sur E-TECH, coût de remplacement hors garantie très élevé (3000-4000€)
- Transmission EDC – Vidange spécifique recommandée tous 60 000 km (environ 250€) bien que non mentionnée dans le programme officiel
- Pneumatiques – Dimensions spécifiques (jusqu’à 18 pouces), prévoir 700-900€ pour un jeu complet
- Mises à jour électroniques – Parfois facturées hors garantie (environ 100-150€)
Pour les deux motorisations, le recours à un spécialiste Renault indépendant plutôt qu’au réseau officiel peut réduire les coûts d’entretien de 20-30% sans compromettre la qualité des interventions ni la garantie constructeur.
Configuration idéale selon l’usage
Le choix de la configuration optimale dépend largement de votre profil d’utilisation :
Pour un usage essentiellement urbain :
- Motorisation E-TECH Hybrid 145 (après mi-2022)
- Finition Intens avec Pack City
- Évitez les jantes 18 pouces pour préserver le confort urbain
Pour un usage mixte (ville/route) :
- Motorisation 1.3 TCe 140 EDC (après mi-2022)
- Finition Intens avec Pack Winter
- Jantes 18 pouces pour un compromis esthétique/confort acceptable
Pour les gros rouleurs :
- Motorisation E-TECH Hybrid 145 (meilleure efficience)
- Pack Techno sur finition Intens (confort et aides à la conduite)
- Système de navigation et connectivité pour optimiser les trajets
Les statistiques de satisfaction client montrent un taux significativement plus élevé (88% contre 76%) pour les utilisateurs ayant choisi une configuration adaptée à leur profil d’utilisation réel plutôt qu’en fonction du prix minimal ou du statut perçu.
Conclusion : l’Arkana, un choix pertinent avec les bonnes configurations
Le Renault Arkana représente une proposition originale et globalement réussie sur le segment des SUV compacts. Son concept de SUV coupé, jusqu’alors réservé aux marques premium, élargit l’offre pour les clients à la recherche d’un véhicule distinctif sans surcoût prohibitif. Si les premiers exemplaires ont révélé quelques imperfections, les améliorations continues apportées par Renault ont considérablement affiné l’expérience globale.
Pour maximiser les chances de satisfaction, retenez ces points essentiels :
- Privilégiez les exemplaires produits après mi-2022, bénéficiant des améliorations techniques
- La motorisation E-TECH Hybrid constitue le choix le plus pertinent pour un usage mixte
- La finition Intens offre le meilleur rapport équipement/prix de la gamme
- La version 1.3 TCe 140 EDC récente représente une alternative valable pour les budgets plus serrés
- Évitez les équipements purement cosmétiques qui alourdissent le prix sans apporter de valeur réelle
Moyennant ces précautions, l’Arkana peut offrir une expérience de conduite satisfaisante associée à une praticité quotidienne réelle et un coût d’usage maîtrisé. Son positionnement original sur le marché et sa valeur résiduelle relativement solide en font une option à considérer sérieusement pour qui recherche un SUV compact sortant de l’ordinaire.
